Le Patro, c’est quoi ?
Installer des toilettes sèches, concevoir un potager, bivouaquer au grand air… au Patro, un mouvement de jeunesse d’inspiration catholique, on n’est pas vraiment dans le virtuel, ni « ultra-connectés ». C’est plutôt grâce au terrain et aux échanges physiques que les enfants grandissent pour devenir des « CRACS », des « citoyens responsables actifs critiques et solidaires. » Pourtant, pour faire le lien entre les membres du réseau, il est impératif de disposer d’un solide outil de communication.
Le Patro, ce sont 22 000 « patronnés », 3600 animateurs, 18 « régionales »…. Mais un seul centre fédéral, celui de Gilly !
La Fédération Nationale des Patros soufflera sa centième bougie l’année prochaine. Cent ans…. dont 20 passés en notre compagnie puisque le Patro est client chez CE+T depuis 2004.
« Et on continue ! s’exclame Bénédicte Biston, directrice administrative et financière. Nous venons justement de remettre CE+T en concurrence, via un appel d’offres. Et nous avons signé à nouveau. Tout va bien : tant sur les tarifs qu’en termes de relation client ! Nous sommes très contents de leurs services. »
Bénédicte Biston, directrice administrative et financière
Un centre d’aiguillage
Au Patro, la téléphonie est un canal de communication essentiel. Il faut évidemment pouvoir recevoir les appels entrants et les aiguiller vers le bon destinataire, que ce soit sur un fixe ou un GSM. Tout passe donc par un numéro central.
« Nous aidons les trois niveaux (local, régional et fédéral) à s’organiser et à faire mouvement, explique-t-on à la Fédération. La plupart des appels viennent du local, soit des présidents des 240 Patros, soit des animateurs. Mais nous sommes également appelés par les parents des jeunes patronnés, par les communes, par d’autres mouvements de jeunesse… »
Le coup de feu a surtout lieu en milieu d’après-midi, entre 15 et 16h. Alors que les étudiants et les animateurs sortent de cours, le téléphone sonne beaucoup. « Quand il s’agit de joindre des responsables locaux, nous passons systématiquement des coups de fils. Ils consultent peu leurs emails, contrairement aux responsables politiques par exemple. »
Le Patro passe aussi des appels sortants : « Nous produisons des outils pédagogiques de qualité, des jeux et des animations, que nous vendons. Alors, même si nous ne faisons pas de démarchage, nous recevons beaucoup de demandes pour des rendez-vous commerciaux. »
Le premier patronage en Belgique date de 1850. Au Patro, on apprend la diversité comme la démocratie et on prend soin des plus fragiles. Nous sommes fiers de compter parmi nos clients une structure aux valeurs si fortes.
